Deezer - ouech l'ESSEC :)

A l'origine de Deezer, il y a deux parcours de météores aux antipodes : Daniel Marhely, 23 ans, autodidacte, et Jonathan Benassaya, 27 ans, diplômé Ensam et Essec, ancien banquier. Deux créateurs qui, malgré leur jeune âge, ont déjà roulé leur bosse. En 2005, Jonathan, lassé des fusions-acquisitions, crée une société de vente d'espaces publicitaires sur jeux vidéo via internet, qu'il revend un an plus tard à des Chinois. Daniel démarre lui en 2004 avec lovely.com, un site de rencontres, puis blogmusik.net, « un moteur de recherche de musique sur le web ».

Le site cartonne en toute illégalité. En janvier 2007, la Sacem se fâche, le site est fermé. Entre-temps, les deux entrepreneurs ont lié connaissance, étant dans le même incubateur parisien. « Nous voulions créer le premier juke-box de musique à la demande sur le web, gratuit et légal pour proposer aux majors du disque un nouveau relais de croissance face au piratage », explique Daniel. La formule ? Les internautes mettent en ligne leur musique, écoutable librement et à volonté, et Deezer paie les droits d'auteur et les droits voisins (interprètes, producteurs, maisons de disques), en mesurant l'audience de chaque morceau sur le site.

Un modèle financé uniquement par la pub. « Comme la radio ! » En août 2007, un premier accord est signé avec la Sacem et le site est lancé. « Depuis, nous avançons pas à pas », note Jonathan. Accord mondial avec Sony BMG en septembre, avec des indépendants en France, en Europe et aux Etats-Unis, négociations en cours avec d'autres majors qui fourniront directement les fichiers numériques de leurs catalogues pour la mise en ligne. Deezer cible le marché américain au second semestre 2008, après des lancements en Allemagne et au Royaume-Uni. En France, le site totalise déjà un million d'utilisateurs réguliers. Il emploie sept personnes et vise « 5 millions d'euros » de chiffre d'affaires l'an prochain.

La société, qui a réuni 250 000 euros au démarrage auprès de business angels, prépare une deuxième levée de fonds. « Nous voulons développer un portail d'actualité musicale avec de la vidéo », confient les jeunes créateurs, qui reconnaissent avoir déjà été approchés par des groupes de médias intéressés au rachat. « Mais nous voulons mener à bien notre projet. Pour l'instant, nous n'en avons réalisé qu'à peine 10 %. »

putain ça rox! Si tu fais un truc comme ça fnüt, respect! Voilà comment utiliser un cerveau d'économiste libéral à bon escient, ça c'est du projet !! On peut pas inventer un truc aussi génial nous?

suffit juste d'avoir une idée! after all is possible..

Le marché des vieux marche bien en ce moment, le truc c ke personne ne sait vraiment ce que veulent les vieux contrairement aux enfants puiskon en été un avant d'être entrepreneur... Je crois kapres 5 ans de kiné ffn pourra nous en parler mieux ke personne! (ya un vrai filon là)

Sinon je savais pas que Deezer HT les droits d'auteur, d'ailleurs il me semble que Google les a copié puisqu'ils ont décidé de filer un truc entre 150 et 300 millions de $$$$$$$ pour des droits de livres

Ah tu crois vraiment que y a un filon à exploiter chez les vieux? Je vois pas trop ce qui pourrait les intéresser, parce que les nouvelles technologies et tout y sont pas super à fond! En plus y sont pas mega dynamiques donc chaud... Je vais y réfléchir en tout cas, moi après le poker je dois trouver quelque chose à faire!

Durant mes entretiens chez UBS, j'ai eu exercice de groupe à faire. Le but etait de faire une campagne marketing pour des chaussures de sport pour vieux.
L'énoncé disait clairement que le marché des vieux va fortement augmenter (cf: vieillissement population, hausse espérance de vie...) et qu'ils sont de plus en plus dynamique.
L'idée de fnut etait de proposer des chaussures tres flash parce que les chaussures de sport toute blanche c naz

Oula le fnode est en train de perdre c repères; il devient créatif et il voit la vie en couleur. Incroyable!

moi j adore les vieux

PS: les vieux i z adorent les scratch.